Exposition "Inside Moebius : l'alchimie du trait"

Les élèves de première L suivant l'option "Histoire des Arts" ont eu la chance de visiter l'exposition consacrée à l’œuvre de Moebius à l'Hôtel Départemental des Arts.
Ils ont rédigé des comptes-rendus de cette sortie. Vous pouvez lire dans cet article quelques extraits sélectionnés par leur professeur, Mme Ninu.

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Le jeudi 30 novembre, avec notre classe d'Histoire des Arts, nous nous sommes rendus à l'Hôtel des Arts qui nous dévoilait des planches et images inédites de Jean Giraud connu sous le nom de Moebius et surnommé le « monstre sacré » de la bande dessinée. Cette exposition (…) nous dévoilait les œuvres exceptionnelles et originales de l'artiste à travers une scénographie épurée. Elle nous présentait les illustrations de la Divine Comédie de Dante ou la galerie d'autoportraits de Moebius ainsi que son bestiaire des créatures de Mars. (…). Une médiatrice nous a gentiment assistés et guidés tout au long de la sortie (…).

C. Lamontagne

 

 

Les différents univers de Jean Giraud/Moebius nous transportent tantôt dans une dimension fantastique, quasi spirituelle, tantôt dans un univers de cow-boys. Toujours avec humour et finesse, Jean Giraud nous embarque dans une épopée fantasmagorique, dont on ne ressort pas sans y avoir laissé une part de nous-même. Soit on adore, soit on déteste. Pour ma part, j'ai adoré, ce côté décalé me parle beaucoup. Les formes, le message, c'était très spirituel, j'ai été transportée dans cet univers très poétique.  

Paco Sanchez

 

                              Blueberry. Mister Blueberry, Couverture tome 24 © Dargaud/MoebiusProduction

 

 

 

(…) Nous avons pu constater un énorme travail sur les détails dans ses œuvres, très minutieux, autant au niveau du dessin qu'au niveau des couleurs. Les tableaux se répondent entre eux et marquent l'entrée et la sortie d'un univers.

Laura L

 

 

(…) L'auteur casse de nombreuses fois les codes de la BD en omettant de dessiner les bulles dans lesquelles les personnages parlent, ou encore en dessinant sans schéma narratif logique, comme dans le journal Métal Hurlant.

Louis C.

 

 

 

 

 

 

 

 

Arzak L’Arpenteur, couverture © Moebius Production